Je suis venu à l’astrologie par passion, du jour au lendemain.

Ce fut une véritable révélation car cela correspondait exactement à ce que je cherchais depuis longtemps : une représentation
du monde conforme à ce que je pensais au plus profond de moi, sans pouvoir la conceptualiser nettement.

Merci à Joëlle de Gravelaine, la grande dame que je n’ai pas pu connaître et dont un livre m’a ouvert à cette lumière venue du ciel un jour de juillet 1984.

Merci aussi à ce professeur de yoga qui, trois mois plus tard, m’a apporté le « Traité Pratique d’Astrologie » d’André Barbault. Le soir même, éphémérides et table des maisons en main, je dressais ma première carte du ciel, celle d’une petite fille née ce jour-là.

Merci enfin à celui que je considère comme mon premier et seul maître, Hadès, à qui tant d’astrologues doivent leur initiation.

Après avoir consacré mes années de jeunesse aux langues étrangères (j’ai traduit des articles et des livres depuis l’allemand, l’anglais et le russe) et à la musique (pianiste et compositeur, j’ai enseigné le piano pendant 10 ans), j’ai décidé de devenir astrologue six mois après ma première rencontre avec l’astrologie.

Au bout de trois années d’études intensives, j’ai ouvert mon premier cabinet de consultation à Nice en octobre 1987. Depuis lors, je n’ai cessé d’approfondir mes connaissances en astrologie et surtout ma connaissance de l’humain, source inépuisable d’émerveillement vis-à-vis des ressources infinies et souvent insoupçonnées dont chacun de nous dispose. Exercer le métier d’astrologue, c’est être le témoin privilégié des multiples états que nous expérimentons : désirs, ambitions, joies, déceptions, chagrins, etc.

Installé à Paris depuis 2001, je poursuis mon activité d’astrologue praticien, enseignant, chercheur et conférencier. Je me rends régulièrement en province et à l’étranger pour des conférences et des consultations.

L’expérience acquise au cours de ces 36 années de pratique professionnelle vient amplement confirmer mon objectif initial : offrir à chacun une vision objective et directement exploitable des informations contenues dans le thème astral et aider à plus de conscience de soi.

Déontologie

Comme pour toute profession centrée sur la relation humaine, l’éthique de l’astrologie
est définie par un code de déontologie.

La plus grande importance est accordée aux notions d’aide, de compréhension et de respect vis-à-vis de la personne qui vient consulter. L’astrologue doit s’interdire toute pratique ayant trait à la superstition, à de prétendus « pouvoirs magiques » ou à la prédiction formelle. Sur ce dernier point, son rôle est au contraire d’amener le consultant à comprendre les liens qui existent entre ses conditionnements passés, la situation qu’il vit et les conséquences probables qui en découleront, le libérant ainsi du fatalisme dans lequel on a naturellement tendance à s’enfermer. Enfin, mais cela va de soi, l’astrologue est tenu au secret professionnel.